Raikiro parcourut un long chemin, a pied, pour rejoindre un village, voulant y rester un bon bout de temps. Il décida d'aller à cocorico. Ce village lui plaisait beaucoup, et aimait les gens qu'y habirtaient là bas. Surout, Raikiro voulait racheter un arc, car le sien fut brisé, et son carquois perdu. Et pendant les 7 ans qui suivirent la guèrre, il n'eut pas le temps de voyager, il devait s'entrainer pour le grand jour. Quelques jours de marche plus tard, Raikiro fut enfin arriver a déstination. Des habitations étaient bien sur présentes, un grand moulin, et une auberge. Il observait chaque recoins du Vilagge, et vut un poste de surveillance, perché sur les roches. Et a son grand plaisir, une petite boutique, pas trés loin de l'auberge. Il décida de s'y rendre, aprés avoir réservé une chambre pour quelques nuits. Les habitants étaient tous de bonne humeur, mais il savait bien, qu'au fond d'eux, ils n'étaient pas si heureux. Raikiro poussa les portes de l'auberge, en scrutant celle-ci. Au rez de chaussé, il y avait un bar, ou un comptoir était instalé. Des tables, était instalés, dans la piéce, qui étaient entourés de quelques chaises. Dans une salle d'a coté, les fourneaux. Des personnes étaient assises a ces tables, et quelques un, étaient positionés en face du comptoir du bar-Restaurant. Raikiro, vit un réception, et y alla vivement. Il regarda le receptioniste, s'appuyant avec sa main, sur le bureau. L'homme, était assez stréssé, et laissait tomber, sans faire attention des papiers importants, et déshordonnés son lieu de travail.
"Excusez moi, puis-je avoir une chambre pour un séjour de longue durée?"
Il fixa Raikiro, s'épongeant le front avec un mouchoir, en me remetant une des clefs qui étaient posés dérrière lui, dans une étagère fixait au mur. Je la pris sans tarder, et me dirigea dans ma chambre, en montant quelques étages. Ce n'était pas luxueu, mais ca lui convenait largement. Un lit confortable, avec des draps noirs et épais. Une grande armoire, une table de chevet, une lampe, un grand tableau representant la triforce, était positonné devant son lit, et un bureau était placé en dessous. Il n'y avait pas de douche, mais des toilettes. Il déposa ses affaire, qui étaient transportés dans un sac. Il rangea tout convenablement dans l'armoir, et posa ses bouquins sur le bureau. Il garda son épée, ne la quittant presque jamais. Puis il descendit les marches, gardant la clef avec moi. Je sortit a l'exterieur me dirigeant vers la petite boutique.