Second essaie

Néron se trouvait devant les escaliers qui menait au village. Son ventre cargouillais si fort qu'on l'entendait 100 mètres à la ronde. Il n'avait plus force pour chasser et il avait les poche remplis de ruby.

* C'est ma seul chance de mangé quelque chose. En espérant que ça va pas être comme la dernière foi.*

Le renard soupir et avança vers le village. Dès son entré des villageois se poussèrent de son chemin, effrayé de voir une créature inconnue dans leur village. Néron marcha vers la première auberge qu'il vit mais au moment où il tourna la poigné, quelqu'un le frappa en criant

"Dégage espèce de monstre"

Le fauniens se retourna et regarda son attaquant. Il n'avait pas l'énergie pour se battre et voulu seulement avoir la paix et quelque chose sous la dent.

"S'il-vous-plait, tous se que je veux c'est mangé. J'ai aucunment l'intention de me batre. "

- Menteur! Je sais très bien que tu veux nous voler, c'est ça que font tous les genres de ton espèce!

Le villageois leva le bras une nouvelle fois, resserrant sa poigne, avec l'intention de frapper plus durement, mais il n'en fut pas ainsi, puisqu'Impa s'était interposée avant qu'une bataille éclate, en attrapant le poignet en l'air de l'homme, qui la dévisageait d'un regard à la fois haineux et surpris.

- Arrêtes-moi cela, Benito, tu vois bien qu'il est épuisé. fit la chef du village, après quoi, l'homme nommé Benito s'échappa de sa prise, s'éloignant d'elle et du faunien, pour ensuite pointer le jeune homme d'un doigt accusateur.

- C'est un monstre! Je l'ai vu s'en prendre à la fille du marchand d'armes!
- Ouais, c'est vrai et il a même osé s'en prendre au cimetière!
- Il faut le tuer! On doit pas laisser de telles créatures en liberté ici!

Les villageois en rajoutèrent ainsi, formulant toute une liste de plaintes d'actions que Neron aurait soi-disant fait, actions néfastes au bon train du village et à la réputation du faunien, réelles ou pas, que la nounou de Zelda ignora complètement. Au contraire, elle se contenta plutôt de faire le contraire de ce que le village voulait d'elle; elle offra son aide à la jeune créature en lui montrant sa main, afin qu'il se relève. Lorsque ceci fut fait, elle lui demanda son nom.

*Une humainne qui m'aides?*

" Eh mon nom? Neron, Neron Calature. Je vous jure que jejn'ai rien fait à se village. Ça fait 4 jours que j'ai rien mangé à par des racines. J'ai même de l'argent pour vous payer"

Neron sourit interieurement. Peut-être enfin il pourra enfin parlé avec un humain sans que ça n'arrive au griffe.
Il prit la main de la vilageoise lui tendait. Il regarda sa fourure. Le beaux bellage roux et doux était devenue délavé et sec à de sa mal nutricion. encor 2 jous et il ne onnerais pas chère de sa peaux.

- Bonjour, Neron, je suis Impa, la chef de ce village. Je sais que tu es injustement accusé de ces vols, ne t'inquiètes pas. C'est la première fois qu'un faunien se montre à Kakariko, les gens ne connaissent pas l'existance de ton peuple, alors ils ont peur de toi. C'est la première fois pour moi aussi que j'en vois un, en dehors des livres, alors tu m'excuseras si je semble être étrange.

Les quelques villageois qui étaient près d'eux semblairent se calmer suite à la petite explication de leur chef, s'éloignant à l'exception de quelques uns, toujours méfiant. La sage se croisa les bras, laissant le jeune homme s'épousseter la fourrure de ses saletés du monde extérieur, afin d'être plus présentable devant le chef. Impa jeta un coup d'œil aux environs, examinant l'expression des passants, qui dévisageait tous Neron, soit d'un air surpris et curieux, soit d'un air méfiant et haineux. La nounou royale se dit que c'en était assez, que la pauvre créature n'était pas une attraction touristique et elle posa gentiment sa main sur l'épaule du renard, l'invitant à rentrer à l'intérieur de la taverne.

- Le propriétaire comprendra en me voyant qu'il devra voir au dessus des apparances. Ce soir, mon petit, tu mangeras à ta faim.

" Merci bien, mais sans vous veccer, j'ai encor des doutes. Mais je ne dirais pas non à un repas chaud."

Ils entrèrent à l'interieur. La taverne était assez grande, il devait avoir un dizaines de table. Dans le fond, il y avait un contoire où un homme assez musclé le regarda de travers.

*Je sens que ça va foirer. Je le sens, ah oui je le sens.*

[HJ: Désolée, j'avais quelques concerts cette semaine, je n'ai pas pu venir -_-' Par contre, avec le temps des fêtes, j'ai largement le temps de venir!]

Impa baissa les yeux sur le renard, dont elle pouvait sentir son anxiété sous sa main, qui reposait toujours sur son épaule. Elle suivit le regard du faunien jusqu'au barman, devinant la peur que le jeune eût face à ces muscles, qui ne servaient qu'à hacher de la viande et à débarrasser du plancher les trois-quatre ivrognes qui avaient élu refuge cette chaleureuse taverne, qui n'avaient jamais à payer, puisque le propriétaire avait la mémoire aussi courte que les nerfs. La chef poussa gentiment l'adolescent devant elle, le dirigeant vers le comptoir, en le suivant de près. Par le fait même, elle observa longuement les visages des familiers, certains s'étant déjà trop enivrés pour s'apercevoir que deux non habitués venaient d'arriver, d'autres trop gênés par la présence de la maîtresse des ténèbres pour détacher leur regard de leurs repas, mais malgré tout cela, il y en avait tout de même qui dévisageait Neron, d'un air si abrutissant que cela en était même dégoûtant à voir.

- Petit, tu dois apprendre à tenir tête aux autres, à te moquer de ces idiots qui te prennent pour un inférieur. Ne te laisse jamais décourager par ces regards, à moins que tu ne sois qu'un couard...

Impa releva la tête, mais n'enleva pas sa main de l'endroit où elle était (elle était toujours appuyée sur l'épaule de Neron, sa rude fourrure passant entre ses doigts, délogeant quelques brindilles de saleté lorsqu'elle les remuaient). Shamu, dit Le Muet, semblait impatient de pouvoir s'occuper de n'importe qui d'autre que du protégé de sa chef ―ces grosses veines ne s'activaient certainement pas à cause de la chaleur du feu plus loin. Sans mot dire, il fixait la femme des ombres, ignorant superbement la présence du faunien, le fuyant presque du regard. Impa rebaissa une nouvelle fois la tête sur l'adolescant, formant avec ses lèvres un doux sourire, comme pour encourager le jeune homme de se montrer extraverti.

- Qu'aimerais-tu manger ce soir, Neron? Tu as librement le choix!